Comment choisir son Psy ?
Vous ne vous sentez pas bien depuis trop longtemps ? Le malaise, les insomnies ou les crises d'angoisse persistent et la meilleure volonté du monde s'avère inutile ? Il est peut-être temps alors d'aller consulter un professionnel. Mais à qui s'adresser ? Comment savoir si c'est le bon moment ?- Les 9 professions de psy
- 15 conseils pour bien choisir son psy
- Quand aller sur le divan ?
- Quel spécialiste consulter ?
- Quelle thérapie ?
15 conseils pour bien choisir son psy
Choisir un homme ou une femme ?
"A 17 ans, je suis devenue anorexique, raconte Aline. On m'a proposé une psychothérapie. J'ai insisté pour être suivie par un homme. Je crois que j'espérais le séduire pour le convaincre que j'allais bien et m'éviter une difficile introspection. C'était un bon psy, il n'a pas été dupe et nous avons travaillé deux ans ensemble. Après avoir vaincu mon anorexie, j'ai commencé une nouvelle analyse, cette fois avec une femme, sans doute pour me réconcilier avec ma féminité. Que mon premier psy ait été un homme et le second une femme, ça a compté pour moi sur le moment. Mais au fond, ce qui m'a vraiment aidée, c'est qu'ils connaissaient bien, tous les deux, le problème de l'anorexie."
L'avis de Sylvie Angel : "Choisir un homme ou une femme n'est pas important. Des études montrent que les femmes, lorsqu'elles ont des problèmes de fécondité, préfèrent en parler à des femmes, tandis que les hommes préfèrent s'ouvrir de leurs difficultés sexuelles à des hommes. Ça ne veut pas dire que les hommes thérapeutes ne peuvent rien comprendre aux problèmes des femmes et réciproquement. Si vous avez plus confiance en l'un ou l'autre, écoutez-vous. Votre thérapie se déroulera d'autant mieux si elle ne débute pas sur une préférence contrariée. Petit à petit, vous serez amené à explorer les motifs inconscients de votre choix. Vous vous apercevrez sûrement que c'est avant tout le professionnalisme du thérapeute qui compte."
Source : Laurence Lemoine
Quelles sont mes premières impressions ?
C'est fait, vous êtes arrivé chez le thérapeute. Très vite, vous allez vérifier, grâce à votre propre ressenti, si l'homme de l'art vous inspire confiance ou non, si vous vous sentez suffisamment accueilli, à l'aise pour lui parler, vous raconter. Curieusement, chaque détail, vous vous en rendrez compte, a son importance : le cadre, les odeurs, les objets qui décorent le lieu. Une thérapie, c'est un peu comme une histoire d'amour : la bonne rencontre est celle qui vous donne le sentiment de vous trouver face à l'être qui comprend votre souffrance et saura vous aider à l'éliminer. N'ayez donc pas peur d'expliquer ce qui vous arrive en détail, malgré la timidité, la gêne que vous pouvez éprouver. Le rôle du thérapeute est d'écouter, souvenez-vous-en. Sachez aussi qu'il est normal qu'il reste un peu sur la réserve pendant votre exposé. Il n'est pas votre copain, mais un professionnel qui a besoin de vous connaître avant de faire des interprétations.
Source : Stéphanie Torre
Fin de la première consultation, et après ?
L'attitude du thérapeute dépend également de la technique qu'il pratique. Certains thérapeutes, notamment ceux qui proposent des cures brèves, annoncent à leurs patients, dès la fin de la première consultation, les grandes lignes sur lesquelles leur travail commun devra porter ultérieurement. Chez d'autres thérapeutes, en revanche, aucun préprogramme n'est prévu, la thérapie avancera au rythme des découvertes effectuées par le patient. Ne soyez donc pas déçu si votre thérapeute ne vous délivre pas tout de suite la clé de l'énigme de vos échecs et de vos impasses. Vos relations ne doivent pas être à sens unique, et il est là pour vous guider, afin que vous puissiez trouver, ensemble, la solution.
Source : Stéphanie Torre
Quelles questions faut-il poser lors du premier entretien ?
"A la première séance, j'ai déballé mon sac, se souvient Renée, puis le psy m'a dit : "C'est 400 F la séance, deux fois par semaine." J'ai accepté sans broncher. Mais je ne pouvais pas assumer une telle dépense. Après plusieurs semaines, je lui en ai parlé. Il m'a demandé combien je pensais devoir le payer et à quelle fréquence je désirais le voir. Nous avons discuté, négocié. Avec le recul, j'ai réalisé que je n'avais posé aucune question à la première séance. Et mon psy avait bien compris ma problématique : je m'en étais totalement remise à lui comme j'avais l'habitude de m'en remettre aux autres, au point de me perdre. En m'imposant un tarif et un rythme, il m'invitait à réagir, à m'approprier ma cure."
L'avis de Sylvie Angel : "Le premier entretien est une évaluation. Le psy tente de comprendre les grandes lignes de votre problème pour poser des indications thérapeutiques : psychanalyse, thérapie comportementale, familiale... De votre côté, vous devez aussi lui poser des questions. Vérifiez ses compétences : sa formation, à quelle école il appartient, etc. Faites-vous exposer les modalités de la cure : tarif, fréquence, cadre (face à face, divan, exercices). Il doit pouvoir expliquer sa démarche honnêtement. Gardez votre sens critique en éveil, mais méfiez-vous de vos projections : les reproches que vous lui adressez sont peut-être les signes d'une résistance à vous engager dans une thérapie. Et si vous ne le "sentez" pas lors de ce premier entretien, n'hésitez pas à en consulter un autre."
Source : Laurence Lemoine
La première séance en psychothérapie est-elle gratuite ?
Il n'y a aucune règle. Certains thérapeutes (et analystes) considèrent que la première rencontre mérite salaire autant que les autres. D'autres estiment, en revanche, que la gratuité de l'entretien préalable est la garantie d'une liberté d'engagement, pour le patient comme pour le thérapeute. Vous pouvez poser la question dès la prise de rendez-vous.
Source : Laurence Lemoine et Stéphanie Torre
L’efficacité d’une thérapie est-elle liée à sa durée ?
Non ! Contrairement à un large préjugé, toutes les études ont montré que l’efficacité n’est pas proportionnelle à la durée, mais à la qualité de la relation établie entre le thérapeute et le client. Il y des thérapies longues et inefficaces, voire nocives (en ce qu’elles entretiennent une dépendance) et des thérapies brèves efficaces, sans rechutes ni " substitution " d’un symptôme à un autre.
Cependant la durée est partiellement liée à la méthode utilisée : ainsi, par exemple, les psychanalyses classiques (sur divan) durent généralement plusieurs années, tandis que d’autres méthodes sont généralement plus brèves (PNL, thérapies de couples, etc.), mais souvent,t avec un objectif plus spécifique. La "profondeur" n’est pas non plus liéée à la durée.
Source : Serge GINGER, Secrétaire général de la Fédération Française de Psychothérapie
Est-il préférable de faire sa thérapie dans sa langue maternelle ?
En Gestalt, il nous arrive fréquemment de faire travailler des étrangers, par moments, dans leur langue maternelle (par exemple pour s’adresser directement à l’un ou l’autre de leurs parents (imaginé présent dans le cabinet de thérapie), cela même si le thérapeute ne connaît pas la langue en question (ainsi, je travaille souvent des séquences en arabe — dont je ne comprends pas un mot) : cela fait " remonter " des émotions enfouies et permet leur clarification et leur déblocage.
Source : Serge GINGER, secrétaire général de la Fédération Française de Psychothérapie
Comment repérer "gourous" et charlatans ?
Voici les dix critères classiques utilisés par les Renseignements généraux, en France et en Europe, pour déterminer le risque d’un "mouvement à caractère plus ou moins sectaire" (chaque point est noté de 1 à 10) :
1. Déstabilisation mentale
2. Caractère exorbitant des exigences financières
3. Induite par le mouvement, une rupture avec l’environnement d’origine
4. Atteinte à l’intégrité physique
5. Embrigadement des enfants
6. Discours plus ou moins anti-social
7. Trouble de l’ordre public
8. Importance des démêlés judiciaires
9. Détournements éventuels des circuits économiques traditionnels
10. Infiltration des appareils d’État.
En résumé, une exploitation des victimes dans l’intérêt financier, narcissique (être admiré de tous et développer son propre pouvoir) ou sexuel du " gourou ". Il s’agit donc d’une aliénation, exactement à l’opposé de l’objectif de la psychothérapie — laquelle vise à augmenter l’indépendance et le libre arbitre de chacun.
Cependant, certaines sectes usurpent des techniques psychologiques, en vue de manipulations mentales. Donc, la vigilance est de mise. Un contrôle simple consiste à demander la formation exacte du responsable (nom et adresse de son école ou institut de formation) puis de s’assurer que cette institution est connue et reconnue par un syndicat national ou une fédération (telle que la FFdP). Un bon thérapeute est fier de sa formation et il n’a rien à cacher.
Source : Serge Ginger, Secrétaire général de la Fédération Française de Psychothérapie
Que siginifie “clinicien” ?
"Clinicien" vient du grec "clinein", "se pencher" (sur le malade).
Il s'agit donc d'un praticien qui est en contact direct avec les patients ou clients, et non d'un chercheur ou théoricien. On parle ainsi d'un stage "clinique", d'une expérience "clinique", etc. : cela implique généralement une pratique réelle auprès de personnes en difficulté.
Source : Serge GINGER, Secrétaire général de la Fédération Française de Psychothérapie
Quelle est la différence entre une psychothérapie par un psychiatre et par un psychologue ?
L’important n’est pas la profession initiale du praticien (psychiatre , psychologue, travailleur social, soignant, etc.), mais sa formation effective et approfondie en psychothérapie : en France, cette dernière n’est pas enseignée en université, ni en psychiatrie, ni en psychologie ! Elle constitue donc une formation spécifique complémentaire. Il vous incombe de demander au praticien à quelle méthode il a été formé et où : s’il rechigne à répondre, c’est mauvais signe !
Un bon psychothérapeute a suivi une longue formation dans une méthode reconnue et il continue, pendant toute sa carrière, à être " supervisé " (cet engagement fait partie de notre code de déontologie). Il est fier de sa formation et ne s’en cache pas. La majorité des psychothérapeutes ne sont ni psychiatres, ni psychologues, mais psychothérapeutes.
Cependant, ce titre n’étant pas encore protégé, il faut vous méfier des charlatans et des " gourous " et vous renseigner auprès de la FFdP ou de syndicats. Il est de plus en plus courant que les psychothérapeutes affichent leur diplôme dans la salle d’attente — comme les kinés ou les ostéopathes. Si vous souffrez de troubles graves, un psychiatre — qui soit aussi psychothérapeute — pourra vous prescrire des médicaments, conjointement à la thérapie. Cela peut s’avérer utile ou nécessaire, dans certaines formes de dépression, de psychoses, etc.
Source : Serge GINGER, secrétaire général de la Fédération Française de Psychothérapie
Sur quels critères choisir son psy ?
Il y a quatre métiers "psy" différents : psychiatre, psychologue, psychanalyste, psychothérapeute. Les deux derniers ne sont pas encore réglementés, mais les deux premiers (attestés par des études universitaires et un diplôme d’État) n’incluent pas de formation à la psychothérapie — contrairement à ce que pense souvent le grand public.
Autrement dit, les psychiatres ou psychologues compétents en psychothérapie se sont formés, à titre personnel dans des instituts privés après leurs études de base — puisqu’il n’existe pas à ce jour, en France, de formation universitaire complète à la psychothérapie. Il n’y a que quelques DU isolés (Diplômes universitaire payants, hors cursus, n’assurant que des formations très partielles).
Les psychothérapeutes formés (en plusieurs années d’études spécialisées), de même que les psychanalystes peuvent être médecins ou psychologues, mais aussi infirmiers, travailleurs sociaux professeurs ou paramédicaux. L’important est qu’ils aient suivi une formation complète, incluant un travail personnel sur eux-mêmes et une supervision, ainsi qu’un engagement déontologique.
N’hésitez pas à leur demander des précisions sur leur formation, leur certification en psychothérapie et leur code de déontologie de référence. Source : Serge GINGER, Secrétaire général de la Fédération Française de Psychothérapie
A savoir concernant le statut de psychothérapeute : jusqu'à la loi du 9 août 2004, n'importe qui pouvait se déclarer psychothérapeute. La loi réserve désormais le titre à ceux qui ont suivi une formation en psychopathologie et figurent sur le registre national dont la création est prévue par la loi (psychiatres, psychologues et psychanalystes sont inscrits de droit) - on attend les décrets d'application. Les psychothérapeutes sérieux sont diplômés d'une cinquantaine d'écoles dépendant d'associations professionnelles. Ils seraient 12 000.
Quelle est la durée approximative d'une psychothérapie ?
De quelques séances (" thérapies brèves ") à plusieurs années (psychanalyse classique). Elle est, le plus souvent, comprise entre un et 4 ans. Elle varie :
1) selon le client (ou patient), sa personnalité, ses difficultés, ses objectifs, 2) selon le thérapeute et selon la méthode.
Source : Serge GINGER, Secrétaire général de la Fédération Française de Psychothérapie
Quel est le bon rythme pour une thérapie ?
Le rythme des séances varie selon les méthodes, selon les thérapeutes et selon l’évolution de la thérapie. Une régularité hebdomadaire est souvent conseillée afin que la thérapie " s’inscrive " dans l’emploi du temps du client comme un repère sécurisant : " tous les mardis à 18 h, j’ai ma séance et je sais que mon thérapeute m’attend ".
Et mieux vaut ne pas espacer ses séances car on ne sait plus très bien si c’est la " bonne " semaine ou pas ! De plus, la thérapie agit beaucoup entre les séances : il convient donc qu’elles ne soient pas trop espacées.
Source : Serge GINGER, Secrétaire général de la Fédération Française de Psychothérapie
Qu'appprend-on de sa motivation lors du premier entretien ?
Le premier entretien a valeur de "test" : un rendez-vous motivé par un état de crise aiguë ne sera pas forcément suivi d'un second. L'angoisse apaisée, on peut décider d'en rester là. S'engager dans une thérapie suppose un désir ferme, c'est-à-dire la conviction que rien d'autre ne pourra vous aider à résoudre vos problèmes. Ce qui, toutefois, ne vous épargnera pas toujours les résistances (oubli de l'heure du rendez-vous, colique brutale...) mises en place par votre "moi" pour échapper au grand nettoyage que vous lui réservez.
Source : Stéphanie Torre
Quand aller sur le divan ?
Même si l'image de la psy a bien changé, on ne pense pas tout le temps à consulter un spécialiste de l'esprit pour affronter les difficultés de la vie. Car il est souvent malaisé de s'avoir à quel moment demander de l'aide à un professionnel, pour soi ou pour ses enfants. Quelques conseils…
1. Quand faut-il aller chez le psy ? Vous ne vous sentez pas bien depuis trop longtemps ? Le malaise, les insomnies ou les crises d'angoisse persistent et la meilleure volonté du monde s'avère inutile ? Il est temps alors d'aller consulter un professionnel.
Si vous n’êtes pas un familier de ces pratiques, aller parler à quelqu'un, qu'il soit psychologue, psychanalyste ou psychiatre, est une décision qui n'a rien de naturel. Elle s'élabore peu à peu. L'idée germe souvent lorsque les recours auprès des proches (amis, famille, conjoint) sont épuisés et que leur réconfort devient inefficace à soulager durablement un mal-être. Le besoin d'autre chose se fait sentir. Des phrases telles que "secoue-toi" ou le fameux "ça va passer" et mêmes les propos empreints de compassion sont aussi inopérants qu'irritants. Les lieux communs ne font qu'exaspérer la souffrance. Cette souffrance n'est pas que larmes et angoisse. Ce peut être des questions entêtantes qui demeurent sans réponse, des comportements, des blocages oudes troubles physiologiques inexplicables qui, inlassablement, se répètent. Ces symptômes sont autant d'indicateurs du besoin de se comprendre.
Se faire aider avant tout
Un travail sur soi ne s'entreprend pas seul. Le tête à tête avec soi- même tourne court car très vite on se heurte à ses propres limites. Le danger est alors de répercuter sur les autres ses propres échecs et de s'enfoncer davantage. Qu'est-ce qui est ignoré et qui fait trébucher à chaque fois ? L'image la plus juste pour rendre compte de cet état serait celle d'un cycliste qui descendrait de bicyclette pour se regarder pédaler et comprendrait ainsi son fonctionnement. Manifester le désir de parler à des professionnels de l'écoute, c'est vouloir tordre le cou à sa propre ignorance, mettre des mots sur son histoire, l'ordonner pour ne plus qu'elle déborde, se l'approprier enfin pour vivre sa vie sans être parasité par le passé.
Combien de temps ?
Une thérapie de courte durée (de 6 à 18 mois) peut être suffisante pour passer un moment difficile, un virage en épingle à cheveux. Il s'agit d'une psychothérapie de soutien.
Certaines thérapies brèves débouchent sur la nécessité d'aller plus loin, le besoin d'en savoir plus. Une psychanalyse peut alors être envisagée. Cette cure, car tel est son nom, vise à un remaniement de l'être. Cette technique lui permet d'appréhender son inconscient, c'est-à-dire ce qui se passe dans sa tête à son insu.
La fréquence de consultation dans le cadre d’une cure analytique est de deux à quatre séances par semaine et elle s'inscrit dans une durée plus longue que les thérapies précédentes, en général plusieurs années.
2. A quel moment emmener votre enfant chez le psy ? Bien souvent les parents ont beaucoup de mal à accepter l’idée que leur enfant puisse avoir besoin d’une aide extérieure. En effet, ils ont l’impression d’avoir failli à leur mission, mais comme dit le proverbe "nul n’est prophète en son pays" .
Parfois l’enfant peut avoir besoin de parler à quelqu’un de totalement neutre. Il peut aussi avoir des problèmes psychologiques - de type angoisses, insomnies - dus à des périodes difficiles (deuil, maladie, séparation des parents…). Certains symptômes doivent attirer l’attention des parents, notamment :
- Une baisse des résultats scolaires ;
- Une agressivité soudaine, des angoisses, des pleurs répétés ;
- Une rupture de la communication ;
- Des troubles alimentaires.
- Il est alors conseillé de consulter.
3. Psychologue, psychiatre ou psychothérapeute ?
Pour faciliter votre orientation et le choix d'un professionnel, voir aussi :
4. Comment emmener l’adolescent ? Il faut lui expliquer que le psy est quelqu’un de neutre qui pourra l’aider sous le sceau du secret professionnel. Il pourra l’aider à comprendre ce qui lui arrive et à gérer cette nouvelle situation. Il faut aussi préciser qu’on peut y aller une fois pour voir comment cela se passe. L’adolescent doit se sentir en confiance avec son interlocuteur : s’il ne se sent pas à l’aise avec la personne, on peut en trouver un autre avec lequel le jeune aura plus d’atomes crochus.
Quel spécialiste consulter ?
Aller chez le psy, d'accord, mais des spécialistes très différents se cachent derrière ces trois lettres. Psychologue, psychiatre, psychanalyste, psychothérapeute… Qu'est-ce qui les distingue ? Quelles sont leurs spécificités ? Comment être sûr de ne pas tomber sur un charlatan ? Quelques clés pour s'allonger sur le divan en toute confiance…
Pour faciliter votre orientation et le choix d'un professionnel, voir aussi :
Quelle thérapie ?
Psychanalyse, hypnose, relaxation… Difficile de s'y retrouver parmi toutes les thérapies. Il en existerait plus de deux cent différentes ! Si certaines existent depuis très longtemps et ont fait preuve de leur efficacité, de nouvelles approches semblent aujourd'hui apporter de réels bénéfices. Tour d'horizon du divan et de ses variantes…
Pour faciliter votre orientation et le choix d'une méthode de psychothérapie, voir aussi:
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Cécile Vallatà paris
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